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[ musique ]
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Mon coeur...
19/03/2006 15:50
Habilée de noir, J'enterre mon coeur, J'enterre mon bonheur, Remplacé par le désespoir.
Comment voir la vie Quand la mort vous appelle? Comment stopper ce sursis Quand ce chant vous ensorcelle?
Tu étais mon soleil, Dans la nuit la plus noire. Tu étais ma merveille, Quand pointait le désespoir.
Maintenant je suis perdue, J'ère dans un monde inconnu, Sans âme,sans coeur, Sans vie,sans valeur...
*...*
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Ma mort ....MOn amour ..
19/03/2006 15:48
Sur ma tombe,froid réceptacle de mon amour, Ne verse aucune larme,reste un court instant. D'un oeil bienveillant,balaies les alentours, Et dépose ton lys sur celle d'un enfant.
Mon bel amour,ma déchirure,c'est ici, Qu'un jour,en d'autre temps,nos coeurs seront unis.
Oublie ce manteau glacial de pierre bleue, Qui me recouvre aux yeux du monde et des vivants. Mon corps s'en est allé,restent nos doux adieux, Flottant sur le rebord de ton coeur et ses tourments.
Mon bel amour,ma déchirure,c'est ici, Qu'un jour,en d'autre temps,nos coeurs seront unis.
Cours et va-t-en,loin de ce lieu de malheur, Va et chante au monde combien est beau l'amour, Qui,même à travers la mort,fait chanter les coeurs, Les unis à jamais et leur porte secours.
Mon bel amour,ma déchirure,c'esi ici, Qu'un jour,en d'autres temps,nos coeurs seront unis.
Quand viendra le jour,on lèvera le manteau, Pour déposer en un même lit,nos deux corps. Les mortels croiront ainsi enfuir par un sceau, Nos amour éternels coruscant encore.
Mon bel amour,ma déchirure,c'est ici, Q'un jour,en d'autres temps,nos coeurs seront unis.
*sublime...*
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La Noyée....
19/03/2006 15:44
Des flancs de la montagne où jaillissait l'écume, Derrière cet écran de lueur et de brume, Se tapissait dans l'ombre un souffle interrompu, Frêle onde encore tremblante,aux lambeaux suspendus.
L'extrême platitude éteignait l'océan, Les poissons,les rochers,tout était dans le temps figé. Et dans l'abyme,au coeur du tourbillon, Se mêlait la concorde et sa soeur répulsion.
Les vagues dessinaient une arabesque folle, Tout les feux du cristal par la main qui les vole, Etaient dénaturés dans l'esprit qui succombe.
Tandis que tout son corps s'enfonçait dans les limbes, Son âme éffaçait l'auréole qui le nimbe, Noyée de pureté et plongeant vers la tombe.
*...*
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